Une belle comète arrive, visible à l’oeil nu

Après être passée au périhélie le 27 Septembre dernier, la comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS sera au plus près de la Terre le 12 octobre à 70 millions de km. C’est une comète à très longue période qui a été découverte début 2023, de façon indépendante, par l’Observatoire de la Montagne Pourpre (Tsuchinshan) en Chine et par l’Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System (ATLAS) en Afrique du Sud.

L’objet est actuellement visible depuis l’hémisphère sud où des astronomes amateurs ont déjà pris de belles photos. L’éclat maximum du noyau sera comparable à celui de l’étoile Polaire (magnitude 2), puis celui-ci diminuera rapidement vers fin octobre.

Photo par Youri Beletski depuis le désert d’Atacama au Chili

Depuis nos latitudes, l’objet sera visible à partir du 12 octobre mais restera assez bas sur l’horizon sud-ouest : il faudra l’observer le plus tôt possible après le coucher du Soleil et avant que la Lune ne soit trop présente. L’emploi de jumelles est recommandé ; en novembre, un instrument sera indispensable pour l’observer.

Voici la trajectoire prévue dans le ciel pour un observateur en Corse. Le nombre entre parenthèses indique la magnitude.

La queue de la comète est toujours orientée à l’opposé du Soleil.

Image réalisée avec l'application Stellarium

La comète repart déjà vers les confins du système solaire, nous ne la reverrons pas avant au moins 80 000 ans.

Dans la nuit du 17 au 18 septembre, ne manquez pas la super Lune !

La pleine Lune du 18 septembre aura en effet un diamètre apparent maximum car notre satellite naturel passera simultanément au périgée : il s’agit du point le plus proche de la Terre dans son orbite elliptique autour du centre de gravité commun.

Cette distance varie au maximum entre 356 500 et 405 500 km de la surface terrestre au cours d’une révolution sidérale de 27,32 jours. Cela représente une variation jusqu’à 14%, et le diamètre apparent fait de même. La luminosité est 30% plus forte au périgée, mais il n’y a aucun danger pour les yeux ; il sera cependant préférable de mettre un filtre atténuateur pour observer le disque lunaire dans un instrument sans être ébloui.

Comme toutes les lunes massives du système solaire, notre Lune est en verrouillage gravitationnel avec sa planète : sa période de rotation est égale à sa période de révolution sidérale, et celle-ci nous présente toujours la même face.

La Terre s’étant déplacée autour du Soleil, il faut deux jours et cinq heures de plus à la Lune pour retrouver une phase identique par rapport au Soleil ; c’est la période synodique de 29,53 jours qui sépare deux pleines lunes par exemple.

La différence entre les périodes sidérale et synodique fait que le phénomène de super-Lune se produit toutes les 13 lunaisons environ.

En revanche, contrairement à la plupart des autres lunes, notre satellite n’orbite pas dans le plan équatorial de sa planète. Cela accrédite la thèse d’une formation postérieure à celle de la Terre, suite à l’impact de cette dernière avec une autre planète appelée Théia. La Lune orbite en effet dans un plan proche de l’écliptique, qui est celui de la Terre autour du Soleil, avec seulement 5° d’inclinaison. Elle coupe donc ce plan deux fois par révolution autour de la Terre, en des points appelés nœuds.

Une éclipse de Soleil ou de Lune ne peut se produire que si la ligne des nœuds passe par le Soleil, tous les 173 jours, et si la Lune se trouve proche de l’un des nœuds à ce moment-là.

Le 18 septembre au matin, la Lune franchira justement le nœud opposé au Soleil : il se produira une éclipse partielle de Lune entre 2h40 et 6h40 TU+2. Cette dernière sera visible depuis la moitié de la Terre qui sera dans la nuit, soit en Europe, en Afrique et en Amérique. S’agissant d’une éclipse par la pénombre comme en octobre 2023 (voir l’article un peu plus loin) ou en mars dernier, la baisse de luminosité de notre satellite sera peu perceptible. 10% du diamètre lunaire se trouvera dans l’ombre de la Terre vers 04h45.

Simulation avec Stellarium

Enfin nous serons proche de l’équinoxe, jour où le Soleil se déplace dans le plan de l’équateur terrestre, ce qui renforce les coefficients de marée. Cette année, la faible distance de la Lune combinée avec un alignement presque parfait entraînera des variations de hauteur d’eau importantes avec un coefficient de 116 le 19 septembre. L’amplitude en 6h (le marnage) atteindra 60 cm à Ajaccio et 14,40 m au Mont Saint-Michel.

Quand Mars fait la course avec Jupiter !

Les Grecs anciens qualifiaient « d’astres errants » les cinq planetes visibles à l’oeil nu ainsi que le Soleil et la Lune car ils avaient remarqué que ces objets se déplacent chaque jour par rapport au fond de ciel étoilé. La Terre tournant plus vite autour du Soleil que les planètes supérieures, ces dernières se décalent généralement vers l’est sauf quelques mois autour de leur passage à l’opposition (quand elles sont alignées avec le Soleil et la Terre) où leur mouvement apparent s’inverse.

Nous avons une belle occasion de visualiser le déplacement de Mars et de Jupiter, qui seront en conjonction à moins d’un demi-degré les 14 et 15 août 2024, avant le lever du Soleil.

Ces deux planètes sont visibles ce mois-ci à partir de 2h le matin à l’est, dans la constellation du Taureau. Comme Mars est plus proche de nous, son mouvement apparent dû à un effet de perspective est nettement plus rapide que celui de Jupiter : ainsi en quelques nuits la planète rouge initialement « au-dessus » de Jupiter va passer légèrement à gauche puis franchement en dessous selon la trajectoire illustrée ici avec l’application Stellarium.

Avec des jumelles, les deux planètes et les quatre satellites galiléens de Jupiter seront bien visibles dans un champ étroit. Mars est actuellement moins lumineux que la planète géante mais sa couleur permet de l’identifier immédiatement.

Il faut aussi en profiter pour observer Saturne, assez haute au sud-ouest en fin de nuit, ainsi qu’Uranus et Neptune ; cependant ces dernières nécessitent l’emploi d’un télescope.

Le ballet ne fait que commencer, toutes ces planètes seront visibles de plus en plus tôt en soirée jusqu’en février prochain.

Nuits des Etoiles – 09 et 10 août 2024

Organisées par l’Association Française d’Astronomie (AFA) et la revue Ciel&Espace, les Nuits des Etoiles se tiendront les 09 et 10 août 2024.

En famille, entre amis ou en solo, les Nuits des Etoiles sont devenues, au fil des ans, le rendez-vous incontournable pour découvrir le ciel nocturne et s’initier à l’observation.

A Ajaccio, cette 34ème édition sera relayée par le Club Ajaccien des Amateurs d’Astronomie. A cette occasion il accueillera le grand public sur son observatoire.

Conditions d'accueil

Uniquement sur réservation.

En cliquant sur l’un des liens ci-dessous vous serez redirigé sur la page HelloAsso du Club et pourrez réserver votre soirée :

Tarif

5 € par personne

Gratuit pour les enfants jusqu’à 7 ans

Programme

Atelier n° 1 : Découverte de la voûte céleste et contes mythologiques.

Découverte et identification des plus belles étoiles et constellations d’été telles que la Lyre, le Cygne, l’Aigle, Hercule, le Scorpion et bien d’autres encore, le tout agrémenté de contes et légendes mythologiques en relation avec les constellations observées.

Les visiteurs pourront apprendre à s’orienter dans le ciel en sachant reconnaître l’étoile Polaire et tous les autres “jalons” du ciel.

Atelier n° 2 : Observation au télescope.

L’attraction principale de cet atelier sera l’observation au télescope d’objets remarquables du ciel d’été.

Ces ateliers étant “tournants”, les visiteurs pourront passer d’un atelier à l’autre et ainsi profiter de l’ensemble du programme proposé.

Recommandations importantes

  • L’accueil se fera uniquement sur réservations (liens ci-dessus),
  • Il est recommandé de se présenter à l’accueil 10 mn avant le début de la soirée,
  • Il est interdit de pénétrer en voiture dans l’enceinte de l’Observatoire. Le parking destiné au public est situé sur la droite juste avant le panneau indiquant l’entrée du site mais celui-ci sera vite saturé. Il est donc fortement recommandé aux visiteurs de se garer le long de la route d’accès au site, après le rond-point du “Week-End” et de continuer les quelques mètres à pied.
  • Pas de lumière blanche (lampe torche, lumière de téléphone, flash d’appareil photo..) sur un site d’observation où seule la lumière rouge est acceptée.

Contact

Pour tous renseignements : Lucien Luciani : 06 84 75 71 78

Notre partenaire :

Dans le cadre de sa politique en faveur de la qualité du ciel nocturne, l’AUE soutient le Club Ajaccien des Amateurs d’Astronomie pour ses actions de découverte du ciel nocturne et de sensibilisation du public à la pollution lumineuse.

Astronomie en mer – saison 2024

Sorties Astronomie en Mer

A la suite  d’un  différend  entre  notre  club  et  le  propriétaire-skipper  du  bateau   les  soirées  d’astronomie  en  mer  sont  suspendues à compter du 26 juillet 2024 pour une durée indéterminée.

Contact

Pour tout renseignement vous pouvez contacter Lucien Luciani.

Tel : 06 84 75 71 78

Le retour de la comète !

Nous avons l’occasion d’observer ces prochains jours la comète 12P/Pons-Brooks qui revient nous voir tous les 71 ans.

Son orbite est très inclinée (74°) par rapport au plan de révolution des planètes (l’écliptique), elle passera au plus près du Soleil à 0,78 UA* le 21 avril prochain avec une magnitude prévue de 4 donc théoriquement visible à l’œil nu. Il est cependant conseillé de se munir de jumelles ou d’un télescope, avec un champ suffisamment large car la queue s’étend sur plusieurs degrés.

Depuis nos latitudes, l’objet est visible en tout début de nuit, une douzaine de degrés au-dessus de l’horizon Nord-Ouest ; il se déplace d’environ 1,2° chaque jour vers l’Ouest. Il faut commencer à l’observer dès le mois de mars, bien que la Lune soit gênante du 15 au 25. Autour du 31 mars, l’étoile Hamal (Alpha du Bélier, magnitude 2) constituera un bon repère.

Le 10 avril vers 21h, la comète formera un triangle intéressant avec la Lune en fin croissant et la planète Jupiter. Après le 12 avril, l’objet sera trop bas et trop proche du Soleil ; il faudra ensuite aller dans l’hémisphère sud pour l’observer.

Cette comète présente des sursauts d’éclat dus au rayonnement solaire fissurant son noyau d’environ 30 km, lequel laisse échapper des nuages de glace et de poussières. La couleur verte provient de la fluorescence du cyanogène (C2N2) et du carbone diatomique (C2) sous l’effet du rayonnement UV du Soleil.

Comète 12P/Pons-Brooks
La comète photographiée par Christian Guerrini le 7 mars 2024

* 1 unité astronomique (UA) = distance moyenne Terre-Soleil = 150 millions de km

Des informations plus détaillées sur ces objets étonnants sont disponibles ici :

http://astrophotofacile.canalblog.com/pages/les-cometes/38855467.html

Rencontres de l’Astronomie

Casa di e Scenze organise samedi 24 février les Rencontres de l’Astronomie.

Ouverte à tous les amateurs d’astronomie, curieux de l’espace et des secrets de l’Univers cette journée sera l’occasion de rencontrer les clubs d’astronomie insulaires, des astrophotographes, des scientifiques. 

De nombreuses animations sont prévues lors d’ateliers, de conférences ou d’expositions.

L’exposition « Météorites : entre ciel et terre », prêtée par le Muséum National d’Histoire Naturelle proposera un parcours immersif pour comprendre ce que sont ces pierres tombées du ciel. De belles collections de météorites seront présentées. Ludovic Ferrière, conservateur de la collection de météorites au Muséum d’histoire naturelle de Vienne reviendra sur l’histoire de la météorite d’Asco, tombée en 1805 en Corse ! Et pour l’occasion la météorite sera visible pendant cette journée.

Le Club Ajaccien des Amateurs d’Astronomie participe à ces Rencontres. Il vous propose un atelier ludique pour comprendre les secrets des lunettes et télescopes.

Des séances de planétarium (sur inscription) ainsi q’une exposition d’astrophotographie sont également prévues.

Pour connaitre le détail des activités, c’est par ici !

Quand le Soleil se fâche…

Plusieurs grands ensembles de taches solaires sont apparus depuis le 20 novembre sur notre étoile. Celle-ci approche en effet son maximum d’activité prévu en 2025, selon un cycle de 11 ans : or cette activité peut impacter directement nos réseaux électriques et systèmes de communications.

Taches solaires 23 novembre 2023
Le Soleil photographié avec la lunette Lunt du club le 23 novembre 2023 - le nord de l'astre est à droite - Photo Christian Guerrini

Ces taches correspondent à des anomalies du champ magnétique très puissant de notre astre qui inhibent les mouvements de convection ; leur couleur sombre provient d’une température inférieure de 2000° à celle de la surface.
Elles apparaissent et disparaissent en quelques jours au voisinage des 30e parallèles nord et sud, et sont entrainées par la rotation de l’astre : 1 tour d’Ouest en Est (soit de gauche à droite) tous les 24 jours à l’équateur, un peu plus aux pôle (32 jours).

Les taches sont le siège d’éruptions solaires, visibles ici sur la circonférence, qui projettent dans l’espace des flux intenses de particules et de radiations. Par ailleurs, un autre phénomène appelé éjection de masse coronale envoie aussi des particules chargées qui interagissent avec le champ magnétique et la haute atmosphère terrestre, formant les fameuses aurores boréales qui peuvent devenir visibles jusqu’à nos latitudes.

Plusieurs satellites en orbite autour du Soleil, comme le Solar Dynamics Observatory (SDO) de la NASA, mesurent en permanence la direction et l’amplitude de ces mouvements afin d’avertir la communauté scientifique si la Terre se trouve dans l’axe d’une émission importante.

Des images actualisées plusieurs fois par jour du disque solaire sont disponibles ici : https://sdoisgo.blogspot.com/p/the-sun-now.html

Le site https://www.spaceweatherlive.com/ (en français) fournit une synthèse de l’activité solaire,  des prédictions et des alertes.

Le préavis est de quelques minutes pour les radiations à une vingtaine d’heures pour les flux de particules ; cela est suffisant pour mettre en sécurité les installations sensibles, jusqu’à un certain point… Il n’est pas impossible qu’une tempête très sévère comme celle de l’été 1859 (événement de Carrington) mette hors service tous les satellites en orbite moyenne ou géostationnaires ainsi qu’une bonne partie de la distribution d’électricité sur le globe : plus de téléphone, de GPS, d’Internet… retour au XIXe siècle pendant plusieurs mois sur toute la Terre en attendant les réparations !

L’histoire de l’activité solaire est enregistrée dans les cernes des arbres par leur concentration résiduelle en carbone 14, directement liée à l’intensité des rayons cosmiques. Ainsi, il a été constaté que les maximas des cycles de 11 ans varient dans un rapport de 1 à 3 selon une périodicité de 90 ans environ. Le dernier pic très intense s’étant produit en 1958, nous sommes donc dans une phase “plutôt calme” bien que des sursauts soient toujours possibles.

Notre étoile un peu turbulente doit donc être surveillée de près.

Attention : ne jamais regarder directement le Soleil ni pointer un instrument sans un filtre spécialisé pour l’observation solaire, sous peine de dommages graves et irréversibles.

28 octobre 2023 : La Lune dans l’ombre de la Terre

Ce n’était qu’une éclipse très partielle puisque l’ombre de la Terre a effleuré le bord inférieur du disque lunaire ce 28 octobre entre 21h30 et 23h.

Eclipse de Lune du 28 octobre 2023
Photo : Christian Guerrini

L’ensemble de notre satellite est cependant passé dans la pénombre de la Terre mais celui-ci n’a pas pris la teinte rougeâtre souvent observée en raison de la réfraction des rayons du Soleil qui ont traversé l’atmosphère terrestre, comme lors d’un coucher de Soleil.

L’éclipse de Lune n’est possible que pendant la pleine Lune, quand celle-ci est alignée avec le Soleil et la Terre, à l’opposé de cette dernière. Cela ne se produit pas à chaque lunaison car l’orbite de la Lune est inclinée de 5,1° sur le plan de révolution de la Terre autour du Soleil (l’écliptique). Il faut que les nœuds ascendant et descendant, i.e. les points d’intersection de l’orbite lunaire avec le plan de l’écliptique, soient situés sur la droite Soleil-Terre. Cela explique pourquoi les éclipses de Lune et de Soleil sont souvent proches.

Contrairement à l’éclipse de Soleil, l’éclipse de Lune dure deux à quatre heures et peut être observée depuis toute la moitié « nuit » de la surface de la Terre, pour laquelle la Lune est au-dessus de l’horizon local pendant ce créneau. L’emploi de jumelles est recommandé, il n’y a pas besoin de protection particulière.

Une éclipse de Lune partielle similaire est prévue le 18 septembre 2024 autour de 04h40 TU+2.

La première mesure de la taille de la Lune a été réalisée dans l’Antiquité au moyen de l’observation de ces éclipses qui ont permis de comparer l’ombre de la Terre avec son satellite. Ainsi la Lune est 3,7 fois plus petite que la Terre. Le diamètre apparent de la Lune étant d’un demi-degré soit 1/114e de radian, la distance moyenne Terre-Lune est donc de 114 diamètres lunaires, soit 29 diamètres terrestres. Or ce diamètre avait été calculé par Erathostène d’Alexandrie en 230 avant JC avec une précision remarquable (2%) en mesurant l’écart entre les ombres au solstice d’été sur deux points de latitudes différentes, et la distance entre ces deux points. Ce diamètre vaut 12700 km ce qui donne une distance moyenne Terre-Lune de 384 000 km.

Comme l’orbite de la Lune est une ellipse, cette distance ainsi que son diamètre apparent varient de +/- 7% au cours d’une lunaison. Mais contrairement à une idée reçue, ce diamètre apparent ne dépend pas de la hauteur de l’astre dans le ciel. C’est une illusion sensorielle qui nous fait paraître le disque lunaire ou solaire plus grand quand il est proche de l’horizon.

Quels instruments pour l’astronome amateur ?

Le Club Ajaccien des Amateurs d’Astronomie (C3A) inaugure un nouveau format de conférences avec “Les Ateliers du C3A” !

Une conférence interactive, basée sur les échanges, pour donner des clés afin de s’initier et de se perfectionner en astronomie.

Le premier rendez-vous aura pour thème : Quels intruments pour l’astronome amateur ?

Les photos prises par les télescopes spatiaux tels que Hubble ou le James Webb ont fait découvrir au plus grand nombre la beauté et la diversité des objets célestes. Elles ont peut-être éveillé chez certains leur intérêt pour l’astronomie.

Sous nos latitudes, le ciel nocturne évolue et offre un spectacle renouvelé au fil des saisons. En Corse la qualité du ciel est propice à l’observation de la voûte céleste ; de quoi donner l’envie de s’équiper !

Face à une offre de matériel abondante et diversifiée, les amateurs, comme les parents d’enfants ou d’adolescents intéressés par l’astronomie, peuvent se sentir perplexes.

Choisir un instrument d’observation suscite beaucoup de questions

Quels types d’objets vais-je pouvoir observer ? Comment choisir un instrument adapté à mon programme ? Faut-il préférer une lunette ou un télescope ? Quelle est la différence entre les deux ? Quels sont les principes du grossissement ? Quels sont les accessoires indispensables ? Quel type d’instrument pour commencer avec un enfant ?…

Toutes ces questions et bien d’autres encore seront abordées lors de cette conférence du Club Ajaccien des Amateurs d’Astronomie, en partenariat avec le Grand Site des iles Sanguinaires et de la pointe de la Parata.

Informations pratiques

Date : Mardi 24 octobre à 18 h 00

Lieu : Maison du Site – pointe de la Parata – route des Sanguinaires – Ajaccio

Nombre de places limité, réservation obligatoire sur :

https://www.helloasso.com/associations/club-ajaccien-des-amateurs-d-astronomie/evenements/quels-instruments-pour-l-astronome-amateur

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